Père Abel - Connaître son néant et entrer dans la Divine Volonté

Père Abel - Connaître son néant et entrer dans la Divine Volonté

Bref Résumé

Cette vidéo offre des conseils pour approfondir sa pratique de la Divine Volonté à travers la lecture des livres du ciel de Luisa Piccarreta. L'accent est mis sur la nécessité d'une lecture méditative et personnelle des textes, plutôt que sur une simple accumulation d'informations. Il est important de comprendre et d'accepter sa propre petitesse et son néant pour laisser Dieu agir en nous. L'obéissance à la volonté divine, la réparation des péchés et la recherche de la joie en Dieu sont également soulignées comme des éléments essentiels de ce chemin spirituel.

  • Lecture méditative et personnelle des livres du ciel
  • Accepter sa propre petitesse et son néant
  • Obéissance à la volonté divine
  • Réparation des péchés
  • Recherche de la joie en Dieu

Introduction

L'auteur introduit le thème de l'année, qui sera axé sur l'approfondissement de la Divine Volonté à travers les livres du ciel. Il encourage à lire les 36 volumes et souligne l'importance de comprendre, d'accepter et de s'immerger dans les livres pour permettre à Dieu de dépoussiérer nos vies, de revivifier nos âmes et de nous faire rentrer dans sa Divine Volonté. Il explique que la répétition dans les livres est une pédagogie de Jésus pour toucher notre mémoire corporelle et sensorielle.

La Divine Volonté n'est pas une dévotion

L'auteur insiste sur le fait que la Divine Volonté n'est pas une simple dévotion, mais une vie. Les livres permettent de travailler notre mémoire et notre intelligence, de purifier notre foi et de ressusciter notre volonté, blessée par le péché originel. Il souligne la nécessité d'une lecture lente, constante et reprise, à l'image de la lectio divina. Il explique que chaque relecture actualise la grâce contenue dans les mots du livre et permet à Dieu de nous travailler.

L'importance de la méditation

L'auteur souligne l'importance de la méditation dans la lecture du livre du ciel, à l'image de Louisa qui méditait tous les jours sur ses dialogues avec Jésus. Il insiste sur le fait que la lecture du livre du ciel est primordiale et impacte notre âme, car c'est notre travail de disciple de Jésus. Il met en garde contre une simple accumulation d'informations à travers des vidéos, qui ne conduit pas nécessairement à vivre dans la Divine Volonté.

Conseils pour la lecture

L'auteur conseille de lire le livre du ciel à son propre rythme, en privilégiant la qualité à la quantité. Il recommande de lire une date par jour et de s'en imprégner, de la méditer et d'interroger Jésus à ce sujet. Il explique que ce travail de lecture et de méditation est nécessaire pour convertir notre volonté, la chose la plus difficile à convertir.

Jean, l'apôtre de notre temps

L'auteur compare la grâce de lire le livre du ciel à la grâce de Saint Jean, l'apôtre de notre temps. Il explique que Jean a porté en lui les 2000 ans de l'histoire de l'Église et que Louisa reçoit la grâce de Jean pour le nouveau millénaire. Il souligne que ceux qui s'unissent à Louisa sont parmi les premiers et ont une grâce d'apôtres pour coopérer aux tribulations et préparer l'Église de l'Apocalypse.

La connaissance de soi

L'auteur aborde le premier point important pour entrer dans la Divine Volonté : la connaissance de soi. Il explique que cette connaissance n'est pas philosophique, mais spirituelle : c'est la connaissance de notre néant sous le regard de Jésus. Cette connaissance est nécessaire pour fonder notre véritable humilité et pour laisser Dieu agir en nous. Il souligne que nous limitons la grâce parce que nous la mesurons à notre propre mesure, alors que nous sommes purs capacité de recevoir Dieu.

L'humilité et le néant

L'auteur explique que l'humilité ne consiste pas à faire quelque chose, mais à toucher notre néant. Il souligne que Jésus ne demande pas des choses compliquées, mais un acte de reconnaissance de notre misère et de notre rien. En reconnaissant notre rien, nous posons un acte de reconnaissance sur celui qui est tout. Il cite Thérèse des Andes qui se disait "néant criminel" et met en garde contre une contemplation de soi qui conduirait à l'orgueil.

Les bienfaits de la connaissance du néant

L'auteur explique que la connaissance du néant permet de prendre conscience que nous sommes capables de rien par nous-mêmes et de laisser Dieu agir en nous. Il souligne que c'est nous qui limitons la grâce et qu'en connaissant notre néant, nous laisserions Dieu se déverser en nous. Il insiste sur le fait que cette connaissance est là pour nous débloquer dans notre vie spirituelle et nous réorienter vers Dieu.

L'obéissance

L'auteur aborde le deuxième point important : l'obéissance. Il explique qu'il ne peut pas y avoir de préparation et d'entrée dans la Divine Volonté sans obéissance. Il souligne que le premier péché est venu d'une désobéissance et que l'état actuel du monde vient du fait que les gens désobéissent à leur chef. Il explique que l'obéissance détruit notre mauvaise volonté et nous restitue notre état originel.

L'obéissance et la connaissance de soi

L'auteur met en garde contre une projection dans un terme qui ne serait pas celui de Dieu et souligne que le point de départ n'est pas d'être un superman de l'obéissance, mais d'être dans son néant. Il explique que la grâce de Dieu nous donnera la capacité de la simplicité et de la liberté, ce qui facilitera l'obéissance. Il cite l'exemple de Louisa qui n'a pas été abandonnée par Jésus lorsqu'elle n'a pas obéi parfaitement.

La Divine Volonté propre

L'auteur aborde le troisième point : la Divine Volonté propre. Il explique que nous devons prendre la Divine Volonté pour être notre joie et que lorsque Jésus nous demande quelque chose, il attend que nous lui demandions ce qu'il nous demande. Il souligne que Dieu contient tout ce dont nous avons besoin et que nous devons aller le chercher en Dieu. Il cite l'exemple de Sainte Faustine qui entrait dans l'attribut de la miséricorde divine.

La réparation

L'auteur aborde le quatrième point : la réparation. Il explique que nous devons nous séparer de notre péché par la confession et l'acceptation de nous-mêmes dans l'état réel que nous sommes. Il souligne l'importance d'entrer en soi pour méditer sur notre état et de s'offrir à Dieu en réparation. Il cite l'exemple de Louisa qui a formulé une prière d'offrande à Jésus après une communion.

L'exemple de Louisa

L'auteur explique que Louisa n'a rien fait réellement, mais qu'elle a tout vécu par la Divine Volonté. Il souligne que cet acte est sorti de l'unité de sa volonté avec celle de Dieu et qu'il est autant plus de Dieu. Il insiste sur le fait que nous pouvons nous approprier cet acte et laisser la Divine Volonté en faire surgir de nous.

Conseils pratiques

L'auteur conseille de lire au moins une date par jour, de commencer à modifier sa prière et de prier dans la Divine Volonté. Il explique comment prier le Rosaire dans la Divine Volonté, en entrant dans la Divine Volonté, en formant son intention et en vivant son Rosaire. Il met en garde contre une récitation mécanique du Rosaire et souligne l'importance de la méditation.

Conclusion

L'auteur conseille de faire une petite méditation sur son néant tous les jours, de voir la beauté de Dieu, de rentrer dans l'acte créateur et de tout lui demander. Il souligne que dans l'intention de la Divine Volonté, nous faisons tout au nom de tous et pour tous. Il encourage à faire ses gammes et ses premiers pas dans ce chemin spirituel.

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